Articles par balises :Franklin Nyamsi

Côte d’Ivoire : Franklin Nyamsi et la thématique de l’ingratitude.

La dénonciation de l’ingratitude est dans la bouche de Franklin Nyamsi, incarnation vivante de l’ingratitude et du mensonge, une démagogie grandiloquente et vicieuse. Il assume fièrement son ingratitude, en mentant de surcroit, pour renverser les positions, salir et transformer en débiteurs tous ses bienfaiteurs, en dépendants tous ceux dont la charité et la générosité lui ont permis de manger pendant ses temps de disette et de famine. J’ai relayé abondamment sur les réseaux sociaux les témoignages picturaux des traits psychologiques inquiétants de ce personnage paranoïde et mythomaniaque, schizophrénique et mégalomaniaque dont l’influence trouble sur le Président de l’Assemblée Nationale ivoirienne est manifeste. Les photos illustrant cette contribution, écrite en témoignage, en attestent. Je déroulerai au fil des contributions  les tours et contours sinueux  de la démagogie mensongère de ce personnage qui assimile le débat démocratique à l’invective et à l’insulte, à la confusion du discours et à la grandiloquence ampoulée du verbe creux.

Lire plus …

Côte d’Ivoire : le néologisme de « transition générationnelle » n’est pas démocratique.

Les deux néologismes corrélatifs et creux de « transition générationnelle » et de « leader générationnel » n’existent nulle part dans l’histoire de la démocratie. Ils ont été inventés de toute pièce par un intellectuel organique et un hagiographe en service commandé pour servir une cause factionnelle.

L’alternance démocratique n’est ni une succession de générations, ni une transition de générations. Ce n’est ni une succession d’ère de jeunes à une ère de vieux, ni le passage d’un pouvoir de vieux à un pouvoir de jeunes. On parle plutôt de transition démocratique pour désigner un changement d’ère politique. La transition démocratique qualifie le passage d’un régime de tutelle à un régime de liberté politique du peuple. En démocratie, il n’est nullement question de génération mais de peuple. Il n’est pas question de légitimité générationnelle mais de légitimité électorale. Il n’est pas question de transmission discrétionnaire du pouvoir à un « leader générationnel » mais d’élection d'un programme politique et d'un projet sociétal, de suffrage universel déterminé par les principes d’égalité et de liberté. Le peuple démocratique est un électorat socialement diversifié et mouvant qui ne peut être représenté  par une génération ni  incarné par un « leader générationnel ».

Lire plus …

Côte d’Ivoire : Franklin Nyamsi a dévoyé le projet national de Soro Guillaume. 1ère partie

Ce que Mr Soro Guillaume Président de l’Assemblée Nationale Ivoirienne m’a dit en Août 2012.

Je m’en rappelle comme si c’était hier. A la fin de la cérémonie de dédicace de l’ouvrage de témoignage que j’avais écrit en coauteurs avec Franklin Nyamsi en mémoire de la crise post-électorale de 2010, le Président de l’Assemblée Nationale nous invita à une réception en son domicile. Dois-je préciser  que cet ouvrage de témoignage devrait poser, en tant que témoignage fondé en raison, le désir d’une Nouvelle Côte d’Ivoire pleinement républicaine et démocratique ? L’idée directrice, du moins la mienne, de cet ouvrage était de justifier conceptuellement le rejet du nationalisme identitaire qui avait fracturé la Côte d’Ivoire, et de réconcilier le pays dans les valeurs de la démocratie et de la République pour rebâtir une Nation de citoyens. Il s’agissait, dans mon esprit, de poser un jalon des valeurs universalistes qui permettraient de refonder un nouveau consensus républicain, de réunifier la pluralité ivoirienne dans un sentiment d’appartenance commune. J’étais donc animé par cet enthousiasme républicain quand je suis arrivé à Abidjan après avoir, durant toute la période de la crise-post électorale, contribué, comme je le pouvais, à lutter par la plume contre la dérive dictatoriale meurtrière d’un Laurent Gbagbo amnésique de sa victoire électorale à la présidentielle de 2000 quand il appelait le Général Guéi à respecter le résultat des urnes.

Lire plus …

Côte d’Ivoire : en quelle qualité ai-je interpellé Franklin Nyamsi ?

Le contrôle politique de l’espace public ivoirien illustré par le cas Franklin Nyamsi et l’exemple Tiburce Koffi.

Je n’ai pas interpellé Franklin Nyamsi pour régler un différend privé. Je ne l’ai pas non plus interpellé en qualité de collègue pour régler un différend scientifique. Mon conflit avec Franklin n’est ni un conflit privé ni une confrontation philosophique académique indument étalés sur la place publique. Mon conflit avec Franklin Nyamsi est un conflit civique concernant l’espace public. Il a trait à la responsabilité des citoyens envers leur gouvernement. J’ai interpellé Franklin Nyamsi en qualité de citoyen car son comportement mettait en péril l’autorité des Institutions de la République dont dépend la stabilité politique du pays. L’espace de règlement de ce différend n’est ni l’espace privé du foyer familial, ni l’entre-soi privé amicale, ni l’espace théorétique des académies. Le lieu de ce différend civique est l’espace public du débat citoyen relativement au respect des vertus  civiques,  à la défense des institutions de la cité, de l’intérêt général et du Bien commun des membres de la cité. J’ai interpellé Franklin Nyamsi en qualité de citoyen ivoirien, outré par ses propos orduriers contre les Ministres de la République de Côte d’Ivoire. Confondre ces trois espaces différents, espace privé des familles et des amis, espace publique des citoyens, espace académique des scientifiques et des enseignants, c’est errer gravement. Ce mélange des registres est inquiétant.

Lire plus …

Côte d’Ivoire: le cas Franklin Nyamsi. Interrogations critiques sur une abdication politique collective.

Le cas Franklin Nyamsi en Côte d'Ivoire illustre les dangers pouvant procéder de l'aveuglement politique et de l'inflammation des passions identitaires et factionnelles dans la cité. Cet égarement collectif ouvre la voie à la capture du pouvoir d'Etat par un goujat rusé et intelligent. Ce dernier intervient par effraction, comme troisième larron, dans un contexte d'affrontement politique déréglé et sans repère éthique et axiologique.

Lire plus …

Côte d’Ivoire: que veut Franklin Nyamsi en Côte d’Ivoire?

Mr Franklin Nyamsi, tu es un Ivoirien et un frère en citoyenneté. Mais que cherches-tu réellement en Côte d'Ivoire? Cherches-tu à reconstruire et à sauvegarder l'unité nationale, à défendre l'intérêt général et le Bien commun dans notre pays? Cherches-tu, au contraire, à conquérir la Présidence de la République et l'Etat Ivoirien pour les afficher, comme  trophées personnels sur le blason de ton ego boursouflé en fusillant, à cette fin, par tes salves d'injures et de grossièretés, les officiels ivoiriens et les simples à ta tentative d'OPA?

Lire plus …

L’outrage infligé par Franklin Nyamsi à la mémoire du Professeur Assalé Aka Dominique.

Soutenu à ton arrivée en Côte d’Ivoire par des âmes charitables qui te procurèrent soutiens et provisions quand tu étais dans le besoin et la fragilité, ton ingratitude foncière te conduit à l'irrévérence et au mensonge envers ces derniers. Un exemple me vient en tête. Il illustre ce caractère insigne de ton âme sombre qui ne recule devant aucune outrance. Je me remémore l’outrage final que tu infligeas, au pied de la tombe, à la mémoire du Professeur Assalé Aka Dominique ton enseignant,  l’homme que tu as méprisé et traité de tous les noms d’oiseaux au motif qu’il n’avait pas réussi comme toi l’agrégation.

Lire plus …

Monsieur Franklin Nyamsi traite le Premier Ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, de chef de Gang ! C’est inacceptable!

Monsieur Franklin Nyamsi, durant de longs mois, j’ai longtemps hésité avant de m’adresser à toi directement et publiquement. Je m’adresse à toi publiquement aujourd’hui car je te connais et je connais les différentes étapes de ton parcours. Nous avons été mon épouse et moi depuis 1996, tes soutiens durant de longues années, quelques temps après ton arrivée dans cette Côte d’Ivoire ébranlée par l’Ivoirité dont tu as souffert. Je me suis éloigné de toi écœuré,  à la suite de ma découverte de ton insondable vacuité morale, de ton monstrueux égocentrisme et de ton abyssale ingratitude.

Cela me fait donc pouffer de rire quand je lis, dans ce tissus d’inepties dont tu as le secret, cette phrase au sujet du journaliste Kra Bernard «  Encore un de ces jeunes ingrats qui se refont une vie sous les miettes du gang d’Amadou Gon, après avoir ratissé tous les râteliers disponibles ». Il m’a semblé te reconnaître dans cette phrase. N’est-ce pas de toi dont tu parles ?

Lire plus …