Articles par balises :EDS

L’AVENTURISME SORO GUILLAUME EN CÔTE D’IVOIRE: une STRATÉGIE CONCERTÉE de DIVERSION ET DE CAMOUFLAGE.

L'AVENTURISME SORO GUILLAUME est une STRATÉGIE CONCERTÉE de DIVERSION ET DE CAMOUFLAGE fomentée par un quatuor informe de loosers politiques en Côte d'Ivoire.

La manœuvre foireuse de déstabilisation de la République ourdie par le chef du RACI-GPS semble obéir à un quadruple objectif stratégique:

1. Créer du bruit pour détourner l'attention de l'opinion nationale et internationale hors des succès du gouvernement en matière de politique d'intégration nationale et de développement endogène. C'est aussi trivial que cela.

2. Tenter de salir ce bilan par la démagogie au viol des droits fondamentaux et constitutionnels des citoyens et de l’opposition.

3. Dissimuler par ce bruit l'échec programmatique en matière économique politique et sociale du PDCI-Bédié, du FPI-Gbagbo, du RACI-GPS, d’EDS et des micros partis affiliés.

4. Tenter, au moyen de la démagogie, de la propagande et de la désinformation, de légitimer par ce bruit, par cette confusion des repères et par cet écran de fumée, la prétention autocratique des membres du quatuor .
Le PDCI-Bédié s'était doté à cet effet d'un SÉCRETARIAT DÉDIÉ à la PROPAGANDE. Il ne faut pas l'oublier.

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Assaut contre la CEI en Côte d’Ivoire : un assaut communautariste déguisé en revendication démocratique.

Armés de leurs contradictions, les forces du nationalisme communautaire ivoirien, rassemblées dans le groupement EDS et leurs diverses organisations de jeunesse,  prétendent monter à l’assaut de la CEI  pour imposer l’impartialité au sein de cette institution "gangrenée", selon elles, "par la partialité". Leur vision communautariste de la société, leur rejet de la Nation démocratique et leur conception privative et patrimonialiste du parti politique, contredisent pourtant cet objectif affiché.

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La défiance du peuple face à la plate-forme de l’opposition en Côte d’Ivoire.

L’échec de la  manifestation de la plate-forme de l’opposition  contre le Sénat, et contre la CEI, n’a pas été causé par l’intervention des forces de l’ordre. Les revendications et les contestations engagées par  la plateforme de l’opposition ne mobilisent pas la majorité des Ivoiriens. Elles ne semblent mobiliser que le carré de leurs militants. Le caractère clairsemé des rangs des manifestants du mouvement de contestation de la CEI et du Sénat en est l’attestation contextuelle.

Certes, l’intervention répressive des forces de l’ordre doit être dénoncée car elle heurte le principe démocratique de la liberté de manifester. Le gouvernement ivoirien doit s’interdire de transiger avec les principes de la démocratie qui fondent sa légitimité. La molestation d’un journaliste par les forces de l’ordre est éminemment condamnable. Néanmoins, cette dénonciation ne doit pas servir à cacher l’échec politiquement significatif de la manifestation du groupe  EDS de Armand Ouégnin.

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