Articles par balises :Violence

En rébellion contre Ouattara et le RHDP Soro de plus en plus isolé.

Ambroise Tiétié

Journaliste Professionnel

Au Quotidien Ivoirien Le Rassemblement.

Pour Guillaume Soro, il y aura un avant et un après 23 décembre 2019, jour funeste de son point de vue, qui a vu l’avion (en réalité, un Jet privé) à bord duquel il se trouvait dérouter pour se retrouver au Ghana voisin avant de reprendre les airs pour l’Espagne. Dès lors, commence, pour lui, un exil volontaire qu’il vit comme une injustice alors qu’il a tout fait pour. Et la vie continue son cours en Côte d’Ivoire, surtout, du côté de l’opposition où son absence semble ne contrarier personne. Et pour cause. Comme on fait son lit, on se couche, dit un adage.

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FPI/ Congrès unitaire : Comment Affi s’est livré, pieds et poings liés, aux GOR.

Ambroise Tiétié

Journaliste professionnel

au Rassemblement (quotidien ivoirien).

Alors que personne ne s’y attendait, l’ancien Premier ministre Affi N’Guessan, président légal du FPI, a rencontré, les 3 et 4 janvier 2020, l’ex-chef d’Etat, Laurent Gbagbo, à Bruxelles où ce dernier est en attente d’un procès en appel après son acquittement, le 1er février 2019. De cette entrevue est née l’idée d’un congrès unitaire destiné à ré-unir les deux tendances du parti divisées depuis 2014.

 A malin, malin et demi. En ‘’vendant’’ l’idée d’un congrès unitaire entre les deux factions du FPI, à Laurent Gbagbo, lors de leur dernière rencontre qui s’est déroulée à Bruxelles, Affi N’Guessan a cru réussir le coup du siècle. Et pas qu’un peu. L’objectif visé a la clarté de l’évidence : rallier à sa cause les GOR pour espérer remporter le Graal en 2020 ! Et comme dans la fable, il a fait l’âne pour avoir le foin. Il a donc accepté de voir celui qu’il considérait naguère comme le ‘’chef de la dissidence’’ lui ravir la première place au terme du prochain congrès qui va consacrer l’unité du parti aux deux doigts. Sauf qu’il ne sait pas encore de quoi accoucherontces assises qui pourraient se terminer en eau de boudin pour lui. Et comment ! A malin, malin et demi, dit-on. Ainsi donc, le président du Conseil régional du Moronou qui semble avoir tiré les conséquences de sa minorité face aux GOR, ce qui l’a conduit à se coucher aux pieds de Gbagbo, pourrait s’en mordre les doigts. De sources proches du dossier, voici les schémas qui auraient été envisagés au terme de leur entrevue impromptue de Bruxelles. Si le congrès unitaire se tenait comme prévu, Affi céderait la présidence du parti à Laurent Gbagbo dont il deviendrait alors le 1er vice-président. Dans ce cas de figure, si le premier est libéré avant octobre 2020 et rentre en Côte d’Ivoire, il serait automatiquement le candidat du FPI à la prochaine Présidentielle, Affi devenant, de facto, son colistier. Mais au cas où le Séplou national était tenu hors du pays en raison de ses ennuis judiciaires, le Lion du Moronouserait le porte-étendard du parti avec un colistier choisi par le Woody de Mama. Or, il est douteux que Gbagbo foule le sol de son pays avant la Présidentielle. Et Affi ne l’ignore pas.

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Soro Guillaume et son coup d’Etat foireux : l’errance criminelle d’un apprenti-autocrate complexé. 3ème partie.

On retire de l’écoute de ce document audio, où il détaille son plan d’opération avec l’orgueil satisfait d’un inconscient convaincu d’être soutenu par des Etats étrangers, l’impression d’être en présence d’un naïf épais.

Sa tentative de s’inviter frauduleusement dans les bagages du Président français Emmanuel Macron pour donner l’impression aux Ivoiriens  d’en avoir la caution moyennant ses liens d’amitié avec Alexandre Benalla, l’ex-chargé de Mission désormais conseiller  du chef du RACI-GPS et probablement entremetteur  dont ce dernier semble avoir été un dindon de farce, en est une preuve.

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Le coup d’Etat foireux de Soro Guillaume : la frustre vision du monde d’un apprenti dictateur. (2ème partie).

Comme il le détaille de sa voix caverneuse monocorde dans le stupéfiant document de son coup d’État foireux, le plan opérationnel (PO) de Soro Guillaume était à double détente.

La première détente consistait à prendre le pouvoir d’État dans une attaque militaire éclair où sa puissance de feu aurait permis de neutraliser les figures d'Autorité du palais présidentiel  et ses probables complices du PDCI-Bédié et du FPI-Gbagbo pour s’octroyer l’exclusivité du pouvoir d’Etat. En atteste l’affiche de son étrange discours à la nation prévu le 31 décembre 2019 publiée sur les réseaux sociaux par les soins de ses services de communication. Ce document est loin d’être une esbroufe pitoyable d’imposteur.

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L’ANARCHO GAUCHISTE, LE VOYOU, L’INCULTE A ENCORE FAIT PARLER DE LUI.

Par Dr Moussa Kader Moussa Abdoul Kader Diaby

Ingénieur diplômé de Polytechnique Paris Dauphine.

Auditeur du Doctorat de Exécutif en Affaires publiques Paris Dauphine.
Président et fondateur du Think Tank Ambition Génération Consciente ( AGC).

"Après avoir brillé en introduisant la violence au sein du syndicat estudiantin (FESCI) pour faire plier Bėdiė, et museler ses amis fescistes opposés à ses idées,

Après avoir repris de façon opportuniste, la tête d'une rébellion, contre Gbagbo qui lui a permis par le biais d'accords politiques de devenir Premier Ministre de la république de Cote d'Ivoire

Après avoir bénéficié de la clémence du RDR à lui concéder la Présidence de l'Assemblée Nationale de Côte d'Ivoire,

Cet anti-modèle ivoirien qui avait érigé l'opportunisme politique en vertu, la violence en courage … commençait à tort à fasciner une partie de la jeunesse ivoirienne désorientée à l'idée de penser que l'ascenseur social pouvait passer nécessairement par la violence politique quelque soit la médiocrité de son parcours.

Hélas, l'anarcho-gauchiste, le voyou et l'inculte a encore fait parler de lui en s'imaginant qu'il pouvait déstabiliser notre chère Cote d'Ivoire actuellement sur les rails de l'émergence et dirigée par SEM Alassane Ouattara.

Honte à lui … pour le discrédit jeté sur la jeunesse ivoirienne.

Nous appelons à la prise de conscience et au civisme.

L'heure est à la responsabilité, à la saine responsabilité,

à l'ambition, à la noble ambition,

L’AMBITION d'une GÉNÉRATION CONSCIENTE (AGC) en 2020."

Par Dr Moussa Kader Moussa Abdoul Kader Diaby

Ingénieur diplômé de Polytechnique Paris Dauphine.

Auditeur du Doctorat de Exécutif en Affaires publiques Paris Dauphine.
Président et fondateur du Think Tank Ambition Génération Consciente (AGC).

Le niveau du discours partisan au PDCI-Bédié, au FPI-Gbagbo, au RACI-GPS de Soro Guillaume : un problème préoccupant.

Au PDCI-Bédié, au FPI-Gbagbo, au RACI-GPS de Soro Guillaume, on ne défère pas au devoir démocratique de surveillance et de critique constructive du gouvernement. On ne propose aux Ivoiriens, aucune alternative programmatique partisane en matière de politique économique et sociale, de politique intérieure et étrangère qui contredirait, de manière argumentée le programme de la majorité RHDP au pouvoir et en démontrerait rationnellement les limites et les inaccomplissements.

Tel est pourtant, dans une démocratie pluraliste, le rôle de l'opposition en tant que contre-pouvoir prétendant à l'exercice du pouvoir suprême .

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Plate-forme Bédié-Gbagbo : un programme égalitaire de gauche ou un programme ethnonationaliste d’extrême droite ?

Quel programme partisan faut-il induire des représentations et des actions politiques des acteurs de la plate forme dite « non idéologique » de l’opposition ivoirienne ?

Quel projet partisan faut-il induire de leurs thématiques, de leurs discours, de leurs éléments de langage, de leur choix, de leurs décisions?

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Réconciliation en Côte d’Ivoire : le FPI s’en moque comme de l’an 40 !

Ambroise Tiétié

Journaliste Professionnel

au Rassemblement (Quotidien ivoirien)

En déplacement à Duékoué, le samedi 26 avril 2019, l’ancienne première dame Simone Ehivet Gbagbo, a parlé d’un supposé génocide dont les populations wê auraient été les victimes. De quoi se demander si cette dame et ses camarades veulent voir tourner la page de la crise postélectorale.

Libérée au  nom de la réconciliation nationale, car c’est le vrai sens de l’ordonnance d’amnistie prise par le chef de l’Etat le 06 août 2018, l’ancienne première dame Simone Ehivet Gbagbo semble faire peu cas de celle-ci.

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Laurent Gbagbo, l’anti-Félix Houphouët-Boigny : le remplacement de la politique par la guerre.

Conflit Affi/Gbagbo au FPI : le mythe brisé de Laurent Gbagbo. 2ième partie

 La mission assignée par Laurent Gbagbo à son parti fut, dès le départ, antipolitique (cf « Conflit Affi/Gbagbo au FPI : le mythe brisé de Laurent Gbagbo » 1ère partie, cedea.net). Le FPI ne fut pas destiné à représenter politiquement les intérêts du plus grand nombre dans la cité, à contribuer à l’intégration nationale de la diversité des catégories sociales du pays. Il ne s'est pas constitué comme instrument fonctionnel chargé d'articuler, dans la cité, le système social et le système politique. Il ne s'est pas défini comme médiateur institutionnel entre la société civile et l'Etat. Le parti de Laurent Gbagbo s’est défini dès le départ comme mouvement antisocial de libération nationale contre des envahisseurs étrangers, contre des ennemis et des traitres dans la Côte d’Ivoire indépendante. Il ne s’est pas défini comme parti politique républicain. Il s'est défini comme parti extrémiste réactionnaire.

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Conflit Affi/Gbagbo au FPI : le mythe brisé de Laurent Gbagbo. 1ère partie

Le masque du démocrate et du détenteur de la pierre philosophale de la réconciliation nationale dont Laurent Gbagbo s'affublait, vient d'être brisé par la main justicière de l'ironie de l'histoire. La logique interne du système FPI, le refus du compromis et le principe de l'anéantissement de l’adversaire, inhérents à la logique de la guerre, viennent de se retourner contre Laurent Gbagbo lui-même. Comme un boomerang, ce retour du bâton délégitime moralement et politiquement l’ex-président du FPI en mettant à nue une imposture.

Le fameux leitmotiv de Laurent Gbagbo « asseyons-nous discutons » ne fut qu’un slogan creux. Pour être un démocrate et un réconciliateur national, il faut capable de reconnaître la légitimité des intérêts divergents qui s’affrontent dans la cité et avoir le sens du compromis.

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L’incidence catastrophique de la pensée magique sur le processus de démocratisation en Afrique.

Dans un continent marqué par la contestation ritualiste du résultat des urnes bien souvent contre les évidences, il est nécessaire d’attirer l’attention sur cette dimension d’irrationalité qui grève le progrès de la démocratie dans nos pays. La prégnance de la pensée magique dans l’affrontement politique est l’une des sources majeures de l’instabilité politique en nos pays.

Les crises postélectorales, la contestation ritualiste du résultat des urnes par les partis d’opposition et par les partis au pouvoir lors des défaites, ne s’expliquent pas exclusivement par des trucages et des manipulations du vote. Lorsqu’elles sont avérées, ces manipulations résultent en amont de la pensée magique des auteurs. Souvent meurtrières, ces violentes contestations post-électorales viennent de ce que certains acteurs politiques, sous l’emprise d’une ambition dévorante, prennent des libertés avec les principes élémentaires de la raison et entrent en contradiction, autant avec l’esprit du régime de démocratie pluraliste qu’avec la majorité de la population. Consciente de ses intérêts et de ses besoins existentiels, cette dernière vote dans l’isoloir en écoutant son bon sens, déjouant les attentes des candidats, de leurs appareils, de leurs propagandistes et des sondages tuyautés avec lesquels ces derniers croyaient pouvoir influencer les électorats.

 Des  partis au pouvoir au bilan calamiteux sur tous les registres, s’étonnent d’avoir perdu la majorité du vote, récusent leur défaite électorale et entreprennent de conserver le pouvoir par la force en usant d’une violence armée et sécuritaire paroxystique. Des partis d’opposition sans programme politique et sans projet sociétal inclusif identifiable, qui ont de surcroit tenu un discours ethno-nationaliste d’exclusion, n’admettent pas leur bérézina électorale, contestent le résultat des urnes par la violence, s’engagent dans des guérillas judiciaires, appellent  leurs militants à la révolte et à la sédition politique.

Méconnaissant que la démocratie est le régime de la souveraineté du peuple qui choisit ses élus sur la base de considérations pragmatiques en évaluant  l’aptitude de ces derniers à servir ses intérêts et ses besoins existentiels, la pensée magique se représente la victoire démocratique comme un phénomène surnaturel qui échoit ex-nihilo à un élu des dieux ou de Dieu. Cette prégnance de la pensée magique se constate quotidiennement dans le discours à tonalité confessionnel d’un certain nombre d’acteurs politiques qui s’en remettent à leurs dieux et non pas au peuple.

Le refus ritualiste du résultat des urnes, dans nos pays, semble donc pouvoir bel et bien  s’expliquer par le décalage de ces acteurs politiques par rapport aux exigences de la raison, aux principes et aux logiques et aux réquisits du régime de la démocratie pluraliste.

Peut-on dans une démocratie pluraliste être élu sans disposer d'un programme politique et économique inclusif clairement formulé et appuyé sur une large base sociale clairement identifiable? Peut-on remporter la majorité des voix sans respecter ce réquisit primaire de la démocratie pluraliste même quand on engage une guerre de succession et une campagne électorale précoces et démagogiques soutenues par une propagande effrénée? Assurément non car la démocratie pluraliste est un régime du nombre et de la liberté du choix politique. La majorité démocratique n'est jamais un électorat captif.

Le problème en Afrique noire, dans nos démocraties pluralistes en construction, est qu'un certain nombre d'acteurs politiques animés par la pensée magique prétendent pouvoir être élu en prenant des libertés avec cette loi d'airain de la démocratie pluraliste.

Un parti politique est par essence électoralement minoritaire parce qu'il ne représente qu'une partie de la population dans la société globale. Il ne peut donc logiquement conquérir la majorité du vote qu'en tenant un discours politique inclusif et en disposant d'un programme intégrateur clairement formulé qui lui permet de ratisser large au delà de son électorat naturel.

Sous l'emprise de la pensée magique, un grand nombre d'acteurs politiques en nos États foulent du pied cette évidence rationnelle. Attribuant à la propagande médiatique, aux campagnes électorales tonitruantes et démagogiques une vertu surnaturelle du fait de cette pensée magique, ils engagent une guerre de succession précoce escomptant prendre l'avantage sur leurs concurrents. Dénués de base sociale et de programmes inclusifs identifiables, entourés par une cour de laudateurs constituée par leur cercle rapproché et leurs militants fanatisés auxquels se réduit leur électorat, instrumentalisant vainement les chefferies traditionnelles, croyant ainsi se construire à peu de frais une base sociale majoritaire, ils montent à l'assaut du pouvoir d’État sur la base d'une illusion.

Ayant pris des libertés avec la loi d'airain de la démocratie pluraliste, ignorant que les masses africaines désormais informées à de multiples sources sont devenues plus critiques, pragmatiques et quasiment imperméables aux propagandes , ces acteurs politiques perdent invariablement les élections qu'ils croyaient pouvoir remporter sur la base d'une illusion. Engoncés dans la certitude de leur légitimité a priori de nature surnaturelle ils se refusent à toute remise en cause critique et tout aggiornamento. Il s'ensuit d'interminables contestations inutiles et des troubles post-électoraux qui ne s'expliquent pas toujours par des manipulations électorales perpétrées par leurs adversaires.

Il est donc grand temps, au terme de ce quart du 21 ième siècle, que nos acteurs politiques et que nos candidats aux diverses élections dans nos démocraties pluralistes se convertissent aux réquisits primaires de la démocratie pluraliste et s'en réapproprient la culture. La démocratie en sera confortée en Afrique noire, la stabilité politique, le progrès économique subséquent, l'émancipation des peuples seront une réalité et non plus un mirage permanent dans la sous-région du continent.

La politique et la démocratie servent à éliminer la violence et la guerre civile dans une société humaine.

Depuis les années 1990, la violence physique a remplacé la politique en Côte d’Ivoire. Activée par certains acteurs politiques, la prépondérance de la violence et de la logique de la guerre civile, perdurent dans notre pays malgré la volonté clairement exprimée, par le peuple ivoirien, à l’élection présidentielle Décembre 2010, de revenir à la politique après la décennie de violence débridée qui s’était conclue par une guerre civile.

L’avènement de la démocratie pluraliste dans les années 1980 aurait dû accomplir, en sa substance, le règne de la politique que Félix Houphouët-Boigny avait institué comme principe normatif en Côte d’Ivoire sous le régime de parti-unique qui fut un despotisme éclairé.

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Le PDCI d’Henri Konan Bédié est-il un poids lourd de la politique ivoirienne?

Le PDCI est-il véritablement le poids lourd de la politique ivoirienne comme le titre en première son journal partisan le Nouveau réveil ? N'en est-il pas plutôt, organiquement et par nature, le poids plume et le poids faible jusqu'à l'anorexie en raison de sa propension à soustraire, à exclure et à diviser?

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Les élections locales en Côte d’Ivoire confirment la pertinence du programme de construction nationale.

Les élections locales qui viennent de se dérouler, illustrent la problématique de la crise de la nation et révèle l'urgence de reconstruire la Nation dans notre pays. Elles ont fait ressortir de la part des protagonistes de l'affrontement politique ivoirien, deux réactions antinomiques face à la défaite électorale.

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A Daoukro, une brochette affligeante d’ethno-nationalistes et de populistes ivoiriens au congrès du PDCI ce 15 Octobre 2018.

Convoqué par Henri Konan Bédié à Daoukro en ce jour du 15 Octobre 2018, le congrès du PDCI a vu s’aligner une brochette affligeante d'autocrates, d'ethno-nationalistes et de populistes tous animés par la logique infantile de la conquête du pouvoir à tout prix, au prix de la déstabilisation politique et de la division communautariste de leur propre pays. Les forces de régression intellectuelle politique, sociale et économique viennent du haut de notre société. Elles se recrutent au sein des appareils dominants des partis politiques et dans la catégorie de l’intelligentsia qui offre à ces politiciens  un service d’intellectuel et de médias organiques. C'est une spécificité de la Côte d'Ivoire dans la sous-région. J'avoue honnêtement en avoir honte

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