Articles par balises :Succession

Le Président de la République Alassane Ouattara, le Vice-président Daniel Kablan Dunkan et le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly : au-delà des personnes, des valeurs, des vertus et des compétences.

Le Président de la République Alassane Ouattara, le Vice-président Daniel Kablan Dunkan et le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly forment  un Trio solidaire unique de compétences technocratiques, intellectuelles et de vertus politiques en Côte d'Ivoire et en Afrique. Ce trio est un trio de bâtisseurs rassemblés dans une oeuvre de sacerdoce.

Concepteurs et acteurs d’une politique efficiente de construction nationale dans un Etat post-colonial caractérisé par sa diversité sociologique, ils  incarnent  les idées, de construction nationale, d’unité politique, d’inclusion sociale, d’intégration,de modernisation économique, de rationalisation, de service public et d’abnégation et de sacerdoce. Au-delà de leurs personnes matérielles, il faut voir ces idées et ces valeurs qui régulent leur praxis politique.

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Le Président de la République ne désigne pas son successeur dans un régime de démocratie pluraliste.

Le président de la république doit-t-il désigner  son successeur dans une démocratie pluraliste ? Évidemment non.

Le successeur du Président de la République est élu par le peuple souverain à la majorité des voix au suffrage universel au terme d’une compétition électorale où s’affrontent des programmes et des projets sociétaux incarnés par des candidats choisis par une pluralité de partis politiques.

La succession démocratique est réglée par la Constitution. Certes le président de la République peut apporter, au sein de la majorité au pouvoir, son soutien au candidat qu’il juge  être à même de mieux porter le programme et le projet sociétal du parti en raison de ses capacités et de ses aptitudes politiques, intellectuelles, technocratiques et morales.

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La nouvelle constitution fait-elle régresser politiquement la Côte d’Ivoire?

thumb_1746Pour répondre objectivement à cette question, il faut tenir compte de la réalité historique et politique de la Côte d’Ivoire, de l’hétérogénéité originelle de sa population, du projet de société fondateur qui  présida à sa naissance en 1960. Il faut raisonner par induction. Il faut argumenter à partir de la signification des notions de « République », de « Démocratie », de « Constitution », de « Politique ». Il ne faut pas argumenter à partir des présomptions arbitraires et des ambiguïtés volontairement entretenues par certains acteurs politiques  pour semer la confusion dans l’esprit des ivoiriens. Il faut avoir en vue les continuités et les ruptures qui relient les constitutions du 3 Novembre 1960, du 1er Août 2000 et du 5 Octobre 2016. Il faut mettre ces constitutions en corrélation avec les régimes politiques respectifs qui s’y rapportent pour induire une réponse objective à la question de la pertinence politique du nouveau projet de constitution.

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