Articles par balises :Pré-carré

L’élection au suffrage universel des despotes africains est-elle un progrès de la démocratie? 1ère Partie.

En Afrique Noire, le temps est à l’élection au suffrage universel des despotes  en qualité de garants sécuritaires du nouvel ordre économique et géostratégique. L’épouvantail djihado- terroriste s’est substitué à l’épouvantail de la révolution communiste qui fit les beaux jours des despotes africains du temps de la guerre froide. L’élection au suffrage universel des despotes africains soulève donc de graves interrogations.

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En Afrique Noire, ouvrons les yeux sur la corruption qui fait le lit du terrorisme djihadiste

Ouvrir en Afrique Noire, les yeux sur la menace mortelle  des terrorismes esclavagistes de Daesh, de Al Qaeda et de leurs filiales maghrébines Aqmi qui ciblent en ce moment l'Afrique Noire en missionnant leurs différents sous-traitants africains locaux, c'est d'abord ouvrir les yeux sur la corruption locale interne qui leur ouvre, grande, les portes de nos cités. (Cf lemonde.fr/Afrique. Menaces-dans-le-sahel-ouvrons-les-yeux par Laurent Bigot)

Pour lutter efficacement contre ce nouveau terrorisme, qui nous rappelle de douloureux souvenirs en tant qu’Africains, ce terrorisme d’esclavagistes, les dirigeants politiques africains doivent travailler à construire l’unité de la nation par l’intégration politique et économique de la pluralité sociale, bâtir la citoyenneté et mettre la puissance publique au service de sa pérennité. Ils doivent pour cela assumer leurs responsabilités politiques qui sont de DEFENDRE L’INTÉRÊT GÉNÉRAL, de SERVIR LE BIEN COMMUN, d’ASSURER LA SÉCURITÉ DES POPULATIONS.

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Exhibitionnisme d’infrastructures ou exposition légitime d’un bilan gouvernemental en Côte d’Ivoire ?

A quelques mois de l’élection présidentielle, le gouvernement ivoirien  s’adonne-t-il à un  exhibitionnisme d’infrastructures  pour masquer son échec et sa corruption sous les fastes d’une économie d’ostentation comme le soutient une des figures de l’opposition ivoirienne ? S’agit-il contraire du cas de figure d’un gouvernement qui s’attache à présenter publiquement son bilan économique et politique conformément au principe démocratique de reddition des comptes ?

Tout conduit, en effet, à penser qu’en Côte d’Ivoire nous nous trouvons face au cas de figure d’un gouvernement soucieux de confronter son bilan à ses promesses électorales. Ce jugement qui crédite le gouvernement ivoirien de l’intention d’émanciper effectivement la société par l’économie et par les infrastructures est à mille lieux de la naïveté du béotien incapable de déceler les stratégies de domination des nouveaux systèmes de pouvoir qui règnent sur la finance.

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