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Réponse à Madame Fanny Pigeaud à propos de son article « Ouattara verrouille sa réélection en Côte d’Ivoire ». (2ème partie)

Contrairement aux propos partiaux et partisans de Madame Fanny Pigeaud, la contestation de la CEI et de la Cour Constitutionnelle Ivoirienne par les dirigeants de sa filiale idéologique ivoirienne ne s’explique pas la dénonciation des manœuvres frauduleuses d’un dictateur ivoirien désireux de bétonner et de verrouiller sa réélection. Cette contestation idéologiquement fondée et préconçue est la seconde étape d’un processus partisan du FPI ethniciste et nationalitaire qui vise à renverser l’ordre constitutionnel républicain et démocratique ivoirien. C’est un moment stratégique nécessaire du combat politique de ce FPI qui veut restaurer en Côte d’Ivoire un Pouvoir communautaire de type national-socialiste et asseoir la toute-puissance de son parti. La racine nourricière de cette contestation de l’impartialité de la CEI et de la Cour Constitutionnelle ivoiriennes par les dirigeants de la CNC inféodés au FPI de Laurent Gbagbo, c’est la revendication identitaire et la contestation de l’éligibilité du citoyen ivoirien Alassane Dramane Ouattara pour cause de nationalité douteuse selon le prisme ethniciste du FPI.

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Réponse à Madame Fanny Pigeaud à propos de son article « Ouattara verrouille sa réélection en Côte d’Ivoire ». (1ère partie)

Comme toujours, en ses articles partiaux sur la nouvelle Côte d’ivoire, Madame Fanny Pigeaud dont l’engagement journalistique en faveur de Laurent Gbagbo et de son FPI est de notoriété publique, occulte les évidences et dissimule les réalités qui desservent son idole. En dépit du ton neutre que  la journaliste s’efforce d’adopter pour respecter la déontologie de sa profession, surgit,  au détour du texte, cette  phrase caractéristique déjà déclinée sous des formes diverses dans ses précédents articles et qui trahit son parti-pris. « Le processus électoral apparaît en effet verrouillé. Le RHDP est majoritaire au sein de la CEI chargée d’organiser et de superviser le scrutin. C’était déjà le cas pour la présidentielle de 2010. À l’époque, les résultats avaient été trafiqués dès le premier tour au profit de Ouattara et au détriment de Henri Konan Bédié, rétrogradé de la deuxième à la troisième place. » Cf « Ouattara verrouille sa réélection en Côte d’Ivoire » Fanny Pigeaud. Médiapart.23-10-2015

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