La réforme de la CEI ne doit pas être entendue dans une acception matérielle et quantitative mais dans une acception intellectuelle et morale.
L’impartialité et l’indépendance de la CEI ne résulte ni de l’équilibre quantitatif des protagonistes de la compétition électorale, ni de la présidence de cette institution par un tiers en provenance de la société civile qui est, au demeurant, le lieu d’expression des particularismes.